Vendredi a passé, samedi aussi.
La fatigue s'est installée, la langue est allée à terre.
C'est que c'est long, guérir d'une dépression. Mais ça se fait. C'est ce que m'a promis le psychiatre cet été. Alors, je prends mon mal en patience (que j'ai de moins en moins on dirait) et j'essaie de me reposer quand je peux.
Mais avec les activités des enfants les fins de semaine, c'est vraiment difficile de trouver du temps pour se reposer.
J'ai hâte à lundi. Pour me reposer. C'est pour ça que je suis en congé de maladie de toute façon, et j'oublie souvent. J'ai hâte, très hâte, de revenir à une vie normale, de pouvoir faire des journées de 14h, 16h. Dans le moment, je ne parviens pas à enfiler douze heures en ligne.
Je ne reçois plus personne (enfin, presque) à souper, je m'endors vers 20h30, 21h00... Pour un samedi soir entre amis, c'est pas mal trop tôt. J'en connais pas qui se couche à cette heure-là, dans mon entourage.
Bref, à demain, à tête plus reposée, plus fraîche et de meilleure humeur.
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